Comment transformer des semis faibles en buissons puissants ?
Du papier d’aluminium ordinaire fera l’affaire et vous permettra également d’économiser une somme d’argent considérable.
Des jardiniers expérimentés ont révélé une méthode qui oblige tous les producteurs de plantes à retirer en masse les réflecteurs des fenêtres.

Auparavant, leur budget était saturé à cause des lampes coûteuses - beaucoup d'argent était dépensé chaque saison juste pour l'équipement. Le même résultat peut désormais être obtenu avec un rouleau de papier d'aluminium de quelques centimes.
Il vous permet d'obtenir des plantes robustes avec des coûts minimes.
Les tomates dotées de tels réflecteurs sont 30 % plus résistantes que leurs homologues sans rétroéclairage : les tiges sont plus épaisses, le feuillage est plus dense et la floraison se produit plus tôt.
La feuille agit comme un miroir, redirigeant chaque rayon de lumière vers les plantes. Le cadre, constitué de lattes de 40 cm de hauteur et recouvertes d'un matériau brillant, peut être assemblé en une heure.
Il est important de positionner les écrans à un angle de 80 degrés sur les côtés et de 30 degrés sur le dessus - de cette façon, la lumière couvre uniformément chaque feuille.
Par temps nuageux, le système ajoute jusqu'à 40 % d'éclairage ; par temps ensoleillé, il évite les brûlures si le réflecteur supérieur est retiré à temps.
Les économies sont évidentes : les phytolampes consomment 50 W par heure, et le film ne nécessite pas d'électricité.
La ventilation à des températures supérieures à 25°C et le réglage de la hauteur de l'écran sont les seules exigences.
Les semis ne s'étirent pas même en février, quand il y a un manque catastrophique de lumière naturelle.
La méthode est déjà testée sur des poivrons et des aubergines - les premières pousses confirment que le papier d'aluminium est supérieur à ses analogues technologiques.